Alicia est une belle plante italienne à la chevelure auburn et avec un cul comme seuls les carrossiers italiens savent en faire. Mais Alicia nÂ’est pas une italienne ordinaire ; elle ne se contente pas dÂ’avoir un cul de rêve, elle aime plus encore se le faire défoncer à grands coups de queue. Elle commence par pomper ce gros dard qui se présente sous son nez, lÂ’engloutit jusquÂ’aux couilles, suce et resuce jusquÂ’à ce quÂ’il soit bien dur et gonflé, et là elle offre sa belle croupe déculottée. On voit bien que cette belle salope a une anatomie faite pour la levrette ; à peine le temps de lubrifier la petite étoile rose du bout de la langue et paf ! direct dans le cul. La grosse pine sÂ’enfonce entre les fesses dÂ’Alicia comme dans du beurre. La voilà enculée jusquÂ’à la garde ; bourrée, défoncée, fracassée et finalement vidangée dÂ’une giclée de foutre bien chaud. La belle italienne vous le prouve : on peut lui rentrer dans le cul sans être en tort et défoncer son anus sans malus !
SÂ’il y avait un concours de la pétasse à bites numéro 1, la jeune fille blonde de cette séquence serait probablement sur le podium. Son regard est un concentré de salopitude pas très subtile mais ô combien lubrique, ce que confirme sa grande bouche de pompeuse. Elle nous montre rapidement le reste : ses petits nichons en liberté sous son pull rose, et sous sa mini-mini jupette, une croupe qui appelle la levrette. La cochonne sÂ’est tellement auto-excitée quÂ’elle va vite retrouver son copain au salon et lui suce la queue comme si sa vie en dépendait ; après quoi cÂ’est elle qui se fait longuement bouffer chatte et cul, et avec des fesses pareilles ça se comprend. Quand elle dégouline dÂ’envie, son mec lÂ’embroche sur son gros dard dressé et lÂ’empale jusquÂ’aux couilles. Ensuite, il la retourne comme une crêpe et lui bourrine la chatte dans diverses positions et bien entendu en levrette, pour voir son beau cul aller et venir. La salope en glapit de plaisir mêlé de douleur, et se prend pour finir une belle giclée de semence chaude sur son ventre lisse.
Héroïne de cette séquence, une jeune fille au regard bleu angélique, avec une frimousse de teenager américaine sage et souriante, à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession. Et pourtant, on se rend compte rapidement quÂ’elle préfère quÂ’on lui donne des coups de bite sans concession. La fausse ingénue et vraie salope écarte bien grand les cuisses et nous exhibe sa chatte ouverte sans jamais perdre son sourire de demoiselle bien élevée. En revanche, quand son copain commence à lui lécher la foune et le cul, elle ne sourit plus, elle gémit. Ensuite, elle ne peut plus rien faire du tout dÂ’autre que sucer, vu la taille du méga-paf de son mec quÂ’elle pompe et repompe dans toutes les positions. LÂ’énorme mandrin est bien plus gros que la bouche de notre petite étudiante ; on comprend pourquoi quand le mec la retourne et lÂ’embroche sur sa queue dressée, elle en gargouille de plaisir et de douleur à la fois. Mais la cochonne est gourmande et endurante. Elle se fait défoncer la chatte dans toutes les positions à grands coups de reins jusquÂ’à lÂ’explosion de foutre finale qui coule le long de sa petite chatte rose. Que de salopinerie peuvent cacher de grands yeux clairs !
Cette jolie rousse un peu trop coquine avait parié qu'elle pourrait sucer deux bites en même temps... La gourmande ne savait pas qu'elle allait tomber sur un black avec une bite tentaculaire, limite poulpesque :) Les deux mecs qu'elle devait sucer ne vont d'ailleurs pas se limiter à une simple pipe, mais vont plutôt démonter la coquine en la baisant dans tous les sens avant de lui éjaculer à la face !
Il y a des salopes, des très salopes, et des méga-salopes. La belle blonde de cette séquence appartient sans hésitation à la 3ème catégorie. Petit minois de cochonne sans tabou, grande bouche à sucer les bites, une chatte et un cul aussi lisses que roses et souples. Bref, cÂ’est un garage à queues et elle nous le prouve sans tarder. Elle se débarrasse bien vite de son collant résille et de sa petite culotte et nous montre ses orifices bien ouverts en gros plan. Mais elle trouve sans doute son cul encore trop serré puisquÂ’elle décide dÂ’y enfourner un énorme plug anal qui rentre sans souci, ainsi que divers autres jouets. Mais rien ne vaut une vraie pine, ou plutôt si : trois vraies pines, quÂ’elle branle et pompe goulûment avant de se faire fourrer par toutes les entrées en même temps. Prise en sandwich entre deux grosses bites et une troisième dans la bouche qui lÂ’empêche de brailler, notre belle blonde à mamelles géantes se fait secouer dans tous les sens avant de finir arrosée de foutre. Hillary, cÂ’est une métaphore de la vie : chacun essaie de sÂ’y faire son propre trou !
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