Deux potes ont invité un ami à venir voir la jolie cheminée quÂ’ils ont installé dans le salon. Le mec est plutôt bien reçu puisque les deux gaillards sont torse nu et pantalon cuir, faisant ressortir leurs muscles et leurs beaux tatouages. LÂ’un dÂ’eux monte alors sur la cheminée et pose tel un apollon grec afin que son mec puisse lÂ’admirer. Tout ceci les excite terriblement et ils décident donc dÂ’improviser un petit plan à trois, ce qui nÂ’est pas pour déplaire à lÂ’invité. Il se met alors à genoux et prend les bites en bouche pour les pomper avec une grande dextérité. Il aspire les gros engins et prend plaisir à bien leur lécher les couilles avant de finir à 4 pattes sur le canapé, pris par un des deux bourrins qui ne fait pas dans la dentelle niveau sodomie. Il se fera ainsi enculer à tour de rôle par ses deux hôtes qui nÂ’auront de cesse de le faire gémir de plaisir. La scène finira sur une avalanche de sperme sur le torse virile de lÂ’invité, qui ravi demandera à revenir dès que possible.
Un jeune éphèbe latino, mignon, avec une musculature sèche et suffisamment de tablettes de chocolat pour nourrir une tribu amazonienne se promène dans la moiteur de la forêt tropicale, la queue dressée comme une sarbacane qui n'attend qu'une bouche. Il découvre avec délice une cascade fraîche qui dévale les rochers et se vautre avec joie sous l'eau courante, les fesses au frais et la bite brûlante. Il ne tarde pas à bander encore plus et se branle sensuellement, allongé sur les rochers, masturbant sa grosse lance de chair en se massant les couilles. Excité comme une puce tropicale, il s'accroupit et se branle de plus belle, le fion tendu, comme s'il s'imaginait une paire de mains le tenant fermement par les hanches et une grosse bite lui ramonant le cul. Il en bande deux fois plus encore, et finit par se rallonger sur le rocher mouillé pour terminer son plaisir et se gicler de longs jets de foutre sur le torse.
Quand on est un couple de jeunes gay et qu'on se promène le paquet à l'air dans une forêt amazonienne, les distractions sont rares. A force de coller au cul du guide, on irait bien le lui dilater un peu. Déjà, voyons s'il sait sucer. Le petit copain montre l'exemple en suçottant le gland qu'on lui présente, sous l'oeil intéressé du guide qui comprend vite ce qu'on attend de lui et s'exécute docilement. On ne sait si c'est un Jivaro, mais à défaut de réduire les têtes, il augmente les glands. Le gentil sauvage s'embouche la bonne grosse pine de son client et pompe avec ardeur, puis passe à l'autre minet avec la même ouverture d'esprit et de mâchoires. Il est temps maintenant de lui montrer une sodomie, et là encore le petit copain se prête au jeu et offre son fion à démolir par le bellâtre qui le besogne bien à fond. Il pousse même l'amabilité jusqu'à sucer la queue de l'indigène pour le motiver un peu. Ledit indigène, dont le nom original est "Cul-à-bourrer-les-pieds-dans-la-rivière-sacrée" a bien saisi l'idée et se prend donc des grands coups de sarbacane humaine dans le fion avec enthousiasme. Nos deux touristes ne sont pas décidés à faire des économies, et après lui avoir cassé le cul dans toutes les positions, ils lui offrent le contenu entier de leurs bourses dans la tronche. Voilà du commerce équitable !
Trois beaux blacks viennent d'arriver en vacance sur une île paradisiaque, il faut fêter l'évènement ! Aussitôt dit aussitôt fait ! Ils commencent à se tailler de bonnes pipes, tout en se débarrassant du haut de leurs vêtements respectifs. Tout d'abord on se suce, et celui au milieu fait office de sandwich, ensuite ce sont leurs intimités respectives qui sont visitées après avoir lubrifié par des léchages vigoureux. Les bites bien dures entrent et sortent en gagnant du terrain à chaque trajet. Ils se donnent un max de plaisir pour ce début de vacances. Ils passent tour à tour à la casserole, dans des gémissements de plaisirs masculins. Ils terminent en gratifiant leurs partenaires respectifs d'une bonne dose de jus sur leurs bas ventre.
Dans une boîte de nuit, un minet innocent s'apprête à être la proie d'une bande de latinos affamés de sexe. Ils se disent tous hétéro, mais lorsque les pulsions sont là, un cul reste un cul. La scène se met en place rapidement, un mec attrape une caméra à la main et filme le tout pendant que les dix autres mecs se réchauffent la queue. Évidemment pour pimenter le tout, il faut noter que les latinos sont membrés comme de véritable poney! Le jeunot se les prend docilement par groupe de deux, un dans le fion l'autre dans la bouche. Les autres mecs, pendant ce temps, se branlent pour rester bien raide avant de se faire pomper à nouveau. Au final, c'est un petit mec tout gommé et dilaté qui quitte la boîte de nuit...
|