Dans un bureau de comptables, une bande d'assistants de direction font des heures supplémentaires dans l'espoir d'avoir une promotion. Mais même après d'épuisantes heures de boulot, le patron reste très chiche. Alors un soir, la bande de mecs décident de se payer une petite orgie improvisée sur les heures de travail! Sur le grand canapé dans le bureau du patron, les employés rebelles se déshabillent et se branlent à la chaîne. L'un d'entre eux plus dégourdi prend l'initiative et pompe le manche de son collègue. Puis un autre écarte les fesses du premier et lui lèche l'anus à grands coups de langue. La partouze est maintenant en branle et parions que le directeur sera étonné de retrouver du foutre sur son sofa le lendemain...
Mieux quÂ’une backroom dans un club gay, plus intime et gratos : le squat à partouzes. Gilles a invité 5 potes dans son baisodrome de fortune, pas pour refaire le monde avec de beaux discours mais pour se refaire le cul à grands coups de queue. Ils sont rapidement tous à poil et commencent à se faire du bien, se caressent, se sucent. Deux par deux, puis trois par trois car le nombre de combinaisons possibles est bien plus sympa, une bite dans la bouche, une autre entre les fesses. Mais on peut faire encore plus sympa, se dit Gilles, et finalement les six minets en rut décident de se mélanger tous ensemble, dans un enchevêtrement de queues turgescentes, de bouches gourmandes et de petits trous ramonés et défoncés. Cette mêlée de plaisir lubrique va finalement sÂ’achever sur une giclée collective de foutre chaud. Et comme cÂ’est un squat, même pas besoin de nettoyer !
Quelques jeunes citadins en balade normande viennent prendre lÂ’apéro chez lÂ’habitant, car ils aiment élargir le cercle de leurs relations. Le cidre et le calva font vite leur petit effet car nos amis délaissent rapidement les cacahuètes pour des amuse-gueules de plus grande taille. 3 dÂ’un côté du salon, 2 de lÂ’autre, les cinq petits cochons se lancent dans une exploration non du bocage normand mais des orifices rectaux des uns et des autres à grand renfort de doigts et de langues, sans oublier de pomper goulûment les gros menhirs (ah non pardon, cÂ’est breton, ça) des copains. Après la sucette vient le plat de résistance et le fracassage de trous, normands pour lÂ’occasion, à coups de bites bien dures enfoncées jusquÂ’aux couilles. Enchevêtrés par deux, par trois, partout, chacun suce et encule jusquÂ’à ce que la bonne crème fraîche ou plutôt chaude de Normandie jaillisse à grosses giclées. Les vacances vertes, ça requinque la santé !
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