A peine sortis de l'adolescence, Matthias et son nouveau coloc décident de mettre fin à leur virginité anale. Seuls dans la chambre à coucher, ils se laissent aller à leur pulsions et en moins de deux ils se retrouvent à se tripoter et à se sucer. Qu'y a t-il de plus naturel pour l'homme que de se retrouver avec sa bite dans une bouche, finalement? Matthias, qui se sent plus apte à être passif, va laisser son ami le prendre, lui mettre sa bite dans le cul! Doucement il va se faire pénétrer et découvrir à quel point c'est bon de se faire pousser la merde, et tout le long il gardera une gaule d'enfer...
Ca démarre par un festival de jus, histoire de nous mettre en bouche. Les mecs sucent, baisent dans les chambres, cÂ’est trépidant, on ne sait plus où donner de la tête. Il y a même une belle feuille de rose puis la caméra fixe un couple. Ils sont sur la terrasse, se frôlent, se cherchent. Ils vont niquer. Alors ils se broutent la queue, se lèchent les pieds et se triturent les couilles. Le plus costaud des deux est aussi le plus lopette. Sodomies. Les grosses balloches rasées pendent du cul. Fesses ouvertes, les visées sont claires et nettes, les bites cadrées. Ils se collent, croquent du poil, sÂ’abreuvent de sueur, puis debout se lèchent le museau, se matent et se branlent. La semence, bien grasse, gicle sur les peaux tannées. Soyons reconnaissants, ces petits gars ne ménagent pas leur peine !
Un jeune sauvage, pagne aux fesses et visage bariolé, se baigne dans la rivière. Il sort de lÂ’eau, trouve une revue pornographique. Il la feuillette. Excité, sa pine gonfle, il se touche et sÂ’allonge. Il sommeille. On retrouve le sauvage dans une chambre, étendu sur un lit. Sorti de nulle part, un blondinet grimpe sur le pieu, taille une pipe au sauvage, le pelote et lui mordille les tétons. Le sauvage chope la tignasse du blondinet et lÂ’encule. En levrette, debout, sur le côté, à califourchon, il lui casse le cul. A intervalles réguliers, le sauvage sommeille sur un rocher. Puis il achève le blondinet en giclant son foutre gras dans sa bouche. Le blondinet sÂ’en badigeonne le visage et se pogne avant de juter sur son propre nombril. Le blondinet disparaît aussi soudainement quÂ’il était apparu. Le sauvage sÂ’étend sur le lit, il sÂ’endort. A-t-il vraiment rêvé ?
A quatre, au premier étage, très vite Antonio passe à la casserole. On le pelote, lui claque les fesses. On lui fourre des doigts dans la raie du cul. Antonio suce. La série de pompes démarre. Il passe dÂ’une bite à lÂ’autre. Dans lÂ’épisode « Je suce comme une bête » il se prend même deux types dans la bouche. Antonio est aux taquets, il suce à mort et se fait lécher le cul avant dÂ’être sodomisé. Les types le grimpent, en le cravachant, comme sÂ’il était un cheval, la tignasse écrasée. Antonio, drôlement secoué, se fait piner dans tous les sens. Il continue de pomper et de lécher des burnes qui pendent. Il se fait doigter le trou du cul, enjambe des pines et se fait niquer à donf. Ses copains introduisent un long phallus noir en plastique dans son cul. Antonio doit se goder le conduit avec lÂ’objet. A la fin, Antonio attend la semoule que lui balancent ses potes. Il sÂ’en barbouille la gueule.
Un homme avec un képi promène son soumis en laisse. Il compte bien lui apprendre les bonnes manières et commence en lui faisant longuement sucer sa queue. Ensuite, afin de le préparer, il lui lèche le cul. A voir comment l'autre ouvre les fesses, il sait ce qui l'attend et y prend un plaisir anticipé. Ensuite, le soumis se fait prendre profondément l'anus... Tellement bien qu'il en jouit sans pratiquement se toucher, répandant son sperme crémeux sur son bas-ventre. Enfin, celui qui vient de le défoncer vient lui jouir sur la bouche.
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